Stefán Kristjánsson de Grindavík a porté plainte contre l’État islandais contre les autorités policières qui lui ont interdit de se rendre à Grindavík et de rester dans sa propre maison et dans sa propre entreprise.
L’avocat Jón Steinar Gunnlaugsson représente Kristjánsson dans cette affaire et le tribunal du district de Reykjavík a déjà confirmé la demande d’une procédure rapide.
Il faut qu’il soit confirmé par un tribunal que le plaignant n’est pas et n’a pas été tenu de se conformer à la décision du commissaire de la police nationale du 13 janvier, qui n’a pas permis aux habitants de Grindavík de rentrer chez eux.
La loi sur la protection publique ne figure pas en tête de la constitution
Gunnlaugsson dit à mbl.is que le plaignant fonde son affaire sur les dispositions de l’article 71 de la Constitution, qui prévoit la protection de la vie privée, du domicile et de la famille.
Le plaignant estime que le gouvernement n’est pas autorisé à refuser aux gens l’autorisation de se rendre à leur domicile et à leur établissement, mais Kristjánsson dirige l’entreprise Einhamar Seafood ehf., sans que le gouvernement, au moins, puisse démontrer que le voyage poserait des problèmes. une menace pour les autres.
« Les autorités ont invoqué la loi sur la protection publique pour justifier leur pouvoir d’exercer ce pouvoir, mais cette loi ne va pas au-delà de la Constitution », dit-il.
L’affaire sera entendue par le Parlement mercredi
Gunnlaugsson lui-même ne se souvient pas d’un autre cas de ce genre.
« La question du jugement est vraiment de savoir si les gens peuvent se voir refuser l’autorisation de rentrer chez eux. »
https://icelandmonitor.mbl.is/news/news/2024/02/06/allowed_to_be_in_town_for_six_hours/
Il espère que la question pourra être soulevée et qu’une décision pourra être prise ce mois-ci ou en mars. L’affaire sera entendue par le Parlement mercredi.
Dit que ses droits sont bafoués
Kristjánsson a publié un message sur son Facebook dans lequel il dit :
« J’ai le droit de m’occuper de mes biens et de mes opérations et de rester dans ma maison à Grindavík si je le souhaite. Ce droit a été bafoué à plusieurs reprises, c’est donc la raison de cette affaire.