La famille Puffin Ă  la dĂ©couverte des baleines 🐳

L’observation des baleines est une spĂ©cialitĂ© islandaise
 que nous n’avions pas encore goĂ»tĂ©e ! Nous avions pourtant bien essayĂ© par 2 fois avec M. Puffin lors de prĂ©cĂ©dents voyages : en vain, nous n’étions jamais au bon endroit au bon moment pour embarquer tout en respectant notre feuille de route. Sans regrets, nous nous Ă©tions dit que ce serait partie remise, avec les minis Puffins. Bref, la mĂȘme sortie
 mais totalement diffĂ©rente ! Alors lorsque nous avons Ă©tĂ© invitĂ©s par une compagnie spĂ©cialisĂ©e – Special Tours pour ne pas les nommer – Ă  participer à une de leurs sorties au dĂ©part de ReykjavĂ­k, l’excitation des tous les puffins de la famille, du plus grand au plus petit, a largement dĂ©passĂ© la limite maximum conseillĂ©e ! Nous Ă©tions donc Ă  point pour cette super journĂ©e
 et on en a bien profitĂ© !

Ça faisait juste bientĂŽt 2 ans que nous en parlions aux minis puffins. Puffin Junior en avait dĂ©jĂ  mĂȘme vue une de trĂšs prĂšs, pĂȘchĂ©e – une histoire de voie navigable dans le fjord -, avec son Ă©cole. Et comble de la coĂŻncidence, nous avions aperçu un groupe de baleines remonter respirer Ă  la surface dans un fjord en allant sur Reykjavik le week-end prĂ©cĂ©dent ! Bon, de la route, ça fait loin – Ă  tel point que nous nous Ă©tions mĂȘme demandĂ© si nous ne les avions pas confondues avec quelques rochers sur lesquels les vagues seraient venues se briser
 mais aprĂšs vĂ©rification au retour et lors d’autres trajets depuis, il s’avĂšre que les « rochers » ont bel et bien disparus
 -, mais les dos foncĂ©s Ă  fleur de surface et les « jets d’eau » ne nous avaient pas Ă©chappĂ©s, sauf peut-ĂȘtre aux deux plus petits puffins. En mĂȘme temps, des baleines, il y en a partout autours de l’Islande
 elles aussi, c’est un coin qu’elles aiment beaucoup, haha. Mais ne nous Ă©loignons pas du sujet. Pour meubler son impatience les jours prĂ©cĂ©dant le tour, Puffin junior qui Ă©tait en vacances a re-regardĂ© tous les « C’est pas sorcier » de notre collection sur ces gĂ©ants marins et les 3 minis Puffins ont lu et relu leur livre-bible sur le sujet offert par leur grand-mĂšre peu aprĂšs notre installation par ici pendant que les grands Puffins s’occupaient de faire recharger la batterie de l’appareil photo. Quand je vous dis que nous Ă©tions tous « à point » 

Et d’un prĂ©paratif Ă  l’autre, le soleil s’est finalement trĂšs rapidement levĂ©s sur la matinĂ©e du jour J. Et quand je dis « soleil », je parle d’un ciel bleu azur et d’une luminositĂ© dignes d’un paysage photoshopé : mĂȘme les eaux du fjord au bord duquel nous vivons qui ne se teintent en bleu qu’à marĂ©e haute – le sable noir basaltique des faibles fonds est trop visible sinon – Ă©taient d’un bleu Ă©tincelant ce matin-lĂ . Bon en mĂȘme temps Ă©videmment, il faisait trĂšs froid – vraiment trĂšs froid ! -, avec un vent Ă  vous glacer en profondeur chaque parcelle d’anatomie non soigneusement couverte de vĂȘtements chauds
 et encore ! Mais on l’aime bien nous ce vent arctique qui, s’il nous transperce, nous apporte Ă©galement soleil et ciel dĂ©gagĂ© ! Cela dit qui dit vent, dit vagues Ă©videmment
 Nous suivons donc scrupuleusement les recommandations qui nous avaient Ă©tĂ© donnĂ©es lors de la rĂ©servation et appelons l’équipe du tour pour savoir si la sortie est maintenue – la veille, elle avait Ă©tĂ© annulĂ©e pour cause indiscutable de tempĂȘtes
 en Islande, sur terre et encore plus en mer, on obĂ©it aux élĂ©ments
 -. Nous avons plus de chance, notre virĂ©e est toujours d’actualitĂ©, mĂȘme si la houle sera au rendez-vous, nous sommes prĂ©venus ! Forts de cette information, nous ne prenons avec nous que quelques paquets de gĂąteaux afin de ne pas surcharger nos estomacs qui vont ĂȘtre mis Ă  rude Ă©preuve, mieux vaut ĂȘtre prĂ©voyants
 Et une fois chaque puffin emmitouflĂ© dans sa tenue la plus protectrice, nous voilĂ  donc partis pour la capitale, sourire aux lĂšvres et jambes pressĂ©es, accompagnĂ©s sur le trajet par Steeve Waring bien entendu
â™Ș♫ La baleine bleue cherche de l’eau, oh, oh oh, OH2O  ♫â™Ș

Notre carrosse des mers 🙂

Le temps de se garer – ok, on est Ă  Reykjavik, c’est pas Paris, ni Nantes
 ni mĂȘme Limoges si l’on ne compte pas les villes adjacentes, mais nous avons presque perdus l’habitude de nous garer dans notre village, nous -, de traverser le port, de rĂ©cupĂ©rer nos tickets et nous nous dirigeons vers le bateau. L’excitation des minis Puffins n’est contenue que par leur intimidation, preuve s’il en fallait encore qu’ils vivent l’expĂ©dition Ă  fond ! Aucun rĂąlement, mĂȘme pas un petit pour la forme – c’est dire s’ils avaient envie d’y aller ! – et 3 petites mains qui s’agrippent bien aux nĂŽtres – preuve que les consignes de sĂ©curitĂ© sont bien passĂ©es – : toute la famille s’engage sur la passerelle qui descend sur le ponton auquel est amarrĂ© notre carrosse des ocĂ©ans. En montant Ă  bord, nous sommes accueillis par l’équipage qui nous dirige vers la salle des gilets de sauvetage pour les oisillons. Le temps de sangler correctement tout cet Ă©quipement et nous voilĂ  sur le pont supĂ©rieur, dĂ©laissant les baies vitrĂ©es et siĂšges intĂ©rieurs, pour profiter au mieux de l’air marin et de la vue imprenable Ă  360°sur les vastes Ă©tendues aquatiques.Le vent fait bien partie de l’aventure, mĂȘme si nous sommes encore protĂ©gĂ©s de la houle par la digue qui abrite le port
 mais plus pour longtemps car le bateau dĂ©marre.

Fin prĂȘts pour l’expĂ©dition !

Dans le port de Reykjavik, en attendant le départ


Dans le port de Reykjavik

Vers le large : sortie du port de Reykjavik !

Pendant que ses frĂšres s’éclatent en regardant le port s’éloigner et les autres bateaux sur l’eau, Melle Puffin prĂ©fĂšre se rassurer en lançant un « Il va pas couler le bateau » dont le ton affirmatif et sĂ»r de lui est en totale contradiction avec ses yeux en attente de notre franche approbation. Un gros cĂąlin plus tard, la miss est rassurĂ©e et a rejoint les garçons Ă  leur poste d’observation. On ne nous avait pas menti, le vent et la houle sont au rendez-vous
 pour le plus grand bonheur de petit puffin junior qui profite Ă  fond de chaque mouvement de balancier et les accompagne Ă  coup de bruitages et d’éclats de rire. Sa joie est tellement communicative qu’il est trĂšs rapidement accompagnĂ© par Melle Puffin
 et mĂȘme Puffin junior qui se plaignait d’avoir mal au ventre et qui s’était assis – nous pressentons que le « rationnement gĂąteau » de midi Ă©tait une idĂ©e fort lumineuse – finit par le rejoindre pour s’amuser avec lui.

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Alors que nous profitions de la ballade, un membre de l’équipage que j’avais croisĂ© en montant et auquel j’avais demandĂ© s’il Ă©tait possible de prendre quelques photos de la cabine de commandement – on ne sait jamais
 – nous a rejoint pour me proposer de descendre jeter un oeil au poste de pilotage avec les deux grands minis puffins. C’te super surprise ! Les deux bonhommes ne se font pas prier : hop, hop, hop, ils suivent sans discuter. Dans la cabine, nous faisons connaissance avec plusieurs membres d’équipage, dont le capitaine et les guides qui guetterons les baleines pour nous indiquer oĂč regarder en nous expliquant plus en dĂ©tail les variĂ©tĂ©s croisĂ©es et leurs modes de vie. Pendant que je discute un peu, les minis puffins ont le droit de s’installer chacun leur tour sur le fauteuil du Capitaine qui leur laisse gentiment quelques instants sa place
 et sa casquette ! Inutile de vous dire Ă  quel point il a fait des heureux qui en parlent toujours aujourd’hui
 Dans la conversation, les marins m’apprennent que notre Capitaine se prĂ©nomme Jonas
 et qu’il Ă©tait forcĂ©ment prĂ©destinĂ© Ă  protĂ©ger les baleines avec un nom pareil ! Ça ne s’invente pas en effet
 Nous discutons un peu de leur mĂ©tier et ils m’expliquent que l’observation des baleines est le meilleur rempart actuel pour les protĂ©ger de la pĂȘche car avec l’augmentation du nombre de touristes, elle devient plus lucrative et encourage la reconversion des pĂȘcheurs tout en sensibilisant le public ! Halte au tourisme gustatif, place au tourisme Ă©ducatif – qui a le mĂ©rite de pouvoir ĂȘtre photographiĂ©, ça laisse plus de souvenirs – ! Entre temps, les minis puffins ont entamĂ© une conversation en islandais avec d’autres membres de l’équipage ravis et amusĂ©s de dĂ©couvrir que les petits parlaient leur langue
 pourvu qu’ils n’aient pas dit trop de bĂȘtises


Cabine de commandement

Lorsque nous remontons retrouver M. Puffin et Melle Puffin, nous nous sommes dĂ©jĂ  bien Ă©loignĂ©s de Reykjavik. Le volcan SnĂŠfell est superbe en face de nous, la luminositĂ© faisant briller de mille feux son manteau de glace et la mer Ă  ses pieds. Nous l’avons rarement vu aussi beau. Bon c’est vrai aussi que c’est la premiĂšre fois que nous le voyons sous cet angle, depuis le large
 mais quelle beautĂ© ! Mais les minis puffins, eux, cherchent les baleines. Les montagnes, c’est bien joli, mais ça va bien cinq minutes : elles sont oĂč les baleines ? Et c’est en pleine partie de « pierre, papier, ciseaux » que la premiĂšre montre le bout de son nez
 ou plutĂŽt de son dos. Surpris par l’appel de la guide, nous n’avons pas le temps de nous positionner avant qu’elle ne replonge. Ce n’est pas trĂšs grave, ce n’est que la premiĂšre. Nous sommes dĂ©sormais prĂȘts et aux aguets. Tandis que nous continuons d’avancer, une autre sort de l’eau, que nous ne distinguons pas non plus. Dans les quinze minutes qui suivent, quatre ou cinq se succĂšdent ainsi sans que nous ne rĂ©ussissions Ă  les distinguer. Nous comprenons – et c’est un tuyau que nous vous donnons – que les apparitions sont souvent rapides et qu’il vaut mieux se trouver Ă  l’avant du bateau, avec le mĂȘme angle de vue que le guide afin de n’avoir que la tĂȘte Ă  tourner pour suivre ses indications
 parce que le temps de passer d’un cĂŽtĂ© Ă  l’autre du bateau, la baleine est souvent de nouveau sous l’eau – surtout avec les trois minis puffins qui sont Ă©videmment moins rapides que les adultes -, sans compter les prĂ©cautions Ă  prendre dans notre cas pour nous dĂ©placer avec la houle. Eh oui, voir les baleines, ça se mĂ©rite !

Reykjavik vue du large

Esja

Hafnarfjall et Akrafjall

Reykjavik
 avec la houle !

La ballade continue au grĂ© des creux, entre scrutation d’horizon et appels de notre guide. Entre les deux, nous prenons le temps d’admirer les oiseaux qui virevoltent par dizaine autours de nous. Le coin doit ĂȘtre poissonneux – logique en mĂȘme temps si les baleines s’y sont donnĂ© rendez-vous – car nous les voyons s’approcher, plonger, pĂȘcher, se poser, nager, replonger, pĂȘcher de nouveau dans un joli ballet qui nous en ferait presque oublier celles que nous Ă©tions venues dĂ©couvrir de prime abord. Et puis alors que, suivant les recommandations de la petite voix sur sa tour d’observation, je changeais de bord d’observation avec Melle Puffin, nous l’avons vue : un immense dos noir est sorti de l’eau sous nos yeux Ă©bahis avant de replonger aussi vite qu’il Ă©tait apparu ! Nous venions de faire connaissance avec une baleine de Minke Ă  ce qu’il parait
 mĂȘme si je ne suis pas certaine que Melle Puffin ai rĂ©ellement pris la mesure de ce qu’elle venait de voir ! Il n’en fallait pas plus Ă©videmment pour que les minis puffins tendent le cou de plus belles
 L’imaginaire en plein Ă©bullition, c’est justement Ă  ce moment qu’une vague mouillĂ©e choisi de finir sa course sur notre trajectoire, nous Ă©claboussant de la tĂȘte aux pieds
 pour le plus grand bonheur des oisillons pour qui, il n’y a pas de doute, c’est la baleine qui a fait claquer sa queue en plongeant sous l’eau pour nous Ă©clabousser ! L’image est trop mimi, nous n’avons pas le cƓur Ă  les contredire : attendris, nous les Ă©coutons se crĂ©er leur propres souvenirs
 c’est aussi ça, grandir.

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Bon, la photo n’est pas de nous mais de l’organisateur
 mais c’est trùs proche de ce que nous avons vu en vrai !

Mais cela fait dĂ©jĂ  bien plus de deux heures que nous sommes partis et notre bateau amorce le retour. AprĂšs tant d’émotions – et pace que nous commençons Ă  avoir un chouilla froid. N:B: : penser Ă  prendre une combinaison la prochaine fois ! -, nous choisissons de descendre dans la partie vitrĂ©e afin que les minis puffins puissent continuer Ă  observer le paysage assis
 et nous aussi, pour profiter du retour sans avoir besoin de les tenir – c’est qu’ils sont en supĂ©rioritĂ© numĂ©rique, ne l’oublions pas, et qu’une « lĂ©gĂšre » faim commence Ă  se faire sentir -. D’ailleurs, toute la famille a faim : l’air marin et les dĂ©couvertes, ça creuse ! En haut, d’autres baleines sont annoncĂ©es
 mais nous sommes trop occupĂ©s Ă  partager nos souvenirs pour y retourner


Quelques 30-45 minutes plus tard, aprĂšs un dernier coucou Ă  l’équipage et avoir rendu les gilets de sauvetage, nous posons de nouveau le pied sur la terre ferme. La traversĂ©e du port se fait sous les commentaires avisĂ©s de nos dĂ©sormais marins en herbe experts pour qui, Ă  n’en pas douter, le monde maritime n’a – presque – plus de secrets. Nous pensions que les dĂ©bats d’interprĂ©tation s’essouffleraient d’eux-mĂȘme au bout de quelques kilomĂštres
 mais que nenni ! Leurs batteries sont inĂ©puisables : la sortie Ă©tait trop intense et nous dĂ©couvrirons tout le trajet durant le fonctionnement incroyable de l’imagination des enfants ! MĂȘlant rĂ©alitĂ© de ce qu’ils avaient vĂ©cu et dĂ©couvert avec leurs Ă©motions en diverses extrapolations
 le monde des baleines ne sera plus jamais le mĂȘme pour nous ! Un petit crochet pour prendre des pizzas – la route est longue jusqu’à la maison pour des ventres qui crient famine dans une voiture remplie du doux parfum de ces chef-d’Ɠuvres gastronomiques ! – et quelques kilomĂštres plus tard, le retour Ă  la maison sonne la fin d’une journĂ©e de dĂ©paysement. Enfin pas tout Ă  fait
 depuis cette sortie, Puffin junior nous submerge de dessins de baleines et autres bateaux d’observations racontant tous une histoire liĂ©e au plus grand mammifĂšre marin qui peuple dĂ©sormais leur jeux lego et playmobiles d’enfants. Nous ne sommes peut-ĂȘtre pas ceux qui ont vu le plus de baleines ce jour-lĂ , mais elles ne nous ont pas quittĂ© depuis c’est certain ! Vivement la sortie d’observation des puffins dans une semaine 
 !

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8 rĂ©flexions sur “La famille Puffin Ă  la dĂ©couverte des baleines 🐳”

  1. Trop génial! Une magnifique sortie en famille de plus pour les puffins! Quels souvenirs pour les plus jeunes (et les plus grands).
    Les dessins de puffin juniors sont vraiment trùs jolis! Un jeune artiste en herbe 😉

    • Oui, tout le monde a a-do-rĂ© ! 😉

      Puffin junior Ă©tait tout fier des compliments sur ses dessins
 je sens qu’on va en avoir encore longtemps 😀

      Bisous, bisous aux Lyonnais

  2. En voilà une bien belle aventure pour vos petits marins en herbe !!! Ils découvrent la beauté de la nature qui les environne et la nécessité de la respecter et de la préserver.
    Ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est leur capacitĂ© Ă  imaginer ce qu’ils n’ont pas vu jusqu’à se persuader de la rĂ©alitĂ© de leur rĂȘve. On se souvient de Puffin Junior, lorsqu’il Ă©tait petit, qui voyait un dragon dans le ciel quand on visitait le Parc de la TĂȘte d’Or 
 Nous ne serions pas Ă©tonnĂ© que prochainement il croise un drakkar viking comme ses dessins en tĂ©moignent.
    Nous sommes depuis longtemps de fervents admirateurs de ces productions picturales ainsi que des récits qui les accompagnent et nous ne nous en lassons pas.
    Merci de nous en faire profiter

    • C’est clair que nous ne nous adorons leurs histoires – mĂȘme si on apprĂ©cie aussi quand elles s’arrĂȘtent 😀 – c’est fantastique le monde de l’enfance ! 🙂

      On espùre que la visite aux puffins leur fera autant d’effets
 et inspirera Puffin junior 😉

  3. Ca a du ĂȘtre super surtout pour les petits puffins mais je me demandais si aller voir les baleines d’aussi prĂšs n’est-il pas dangereux pour elles ?
    Je suis une grande passionnĂ©es des animaux qui voyage beaucoup et j’essaye toujours de choisir des activitĂ©s en rapport avec les animaux mais aussi je me renseigne Ă©normĂ©ment sur les conditions et l’impact que cela peut avoir. Au Sri Lanka par exemple, il y avait des excursions organisĂ©es pour aller voir les baleines mais en me renseignant un peu plus j’ai vu que le fait d’avoir plein de bateaux touristiques autour de leur zone les poussaient Ă  s’éloigner et risquer leur vie 🙁
    Je rĂȘve vraiment de voir des baleines et j’espĂšre qu’en Islande leur protection et prĂ©servation est pris en compte.

    • Bonjour CharlĂšne,

      Nous ne sommes pas des spĂ©cialistes
 mais nous nous sommes un peu renseignĂ© quand mĂȘme car nous faisons trĂšs attention Ă  respecter la nature et l’écosystĂšme fragiles qui nous entourent ici – et ailleurs 😉 -. Nous n’avons jamais entendu parler de baleines mises en danger par les activitĂ©s touristiques en Islande. Par contre, l’Islande est un pays qui pratique encore la chasse Ă  la baleine – mĂȘme en faibles quantitĂ©s -
 or les pĂȘcheurs islandais se sont rendu-compte qu’il Ă©tait finalement plus rentable de se reconvertir dans l’activitĂ© d’observation touristique, ce qui est trĂšs profitable aux baleines du coup ! 😉

      De plus, elles viennent en Islande faire des rĂ©serves de nourriture dans les eaux froides oĂč leurs nourriture abonde avant de redescendre se reproduire dans les eaux plus chaudes. Le tourisme ne les perturbe donc pas ici dans une pĂ©riode de vulnĂ©rabilitĂ© ni dans leurs cycles de reproduction ni mĂȘme les jeunes non sevrĂ©s et plus fragiles
 les risques sont donc minimisĂ©s.

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